Périgueux Business School Alliance Européenne, un enseignement de qualité ouvert sur le Monde
L’Alliance Européenne - Périgueux Business School fait partie des établissements de référence en Dordogne, en proposant principalement des formations diplômantes en Bac+2, +3 et Master.
La création de l’école
Il y a 26 ans, Jean-Pierre Ferret a créé son établissement privé de formation à Périgueux.
Juriste de formation, ce Breton d’origine a commencé à donner des cours pendant ses années d’études à Paris.
Ce fut un véritable déclic pour lui.
Arrivé à Périgueux pour des raisons familiales, après plus d’une vingtaine d’années dans la capitale, il commence à enseigner dans des établissements locaux. Mais les méthodes d’enseignement employées ne lui paraissent pas optimales : “c’était très vertical et descendant, avec de gros effectifs. Le prof dit quelque chose et on le fait. Il y a des méthodes qui sont plus adaptées.”
Un projet se dessine alors pour Jean-Pierre : “à un moment donné, au lieu de rester dans la critique, je me suis dit “tu n’as qu’à faire ta propre école et tu verras bien””.
Il lance alors son école : “monter une école européenne à Périgueux, à l’époque, ce n’était pas gagné. Ça a été très long, très lourd, mais ça nous a permis de mettre en place ce que l’on voulait.”
Une école avec ses propres méthodes
Avec son équipe, Jean-Pierre a pu mettre en place une école ayant son propre ADN : “Nos méthodes d'enseignement sont assez différentes, avec des effectifs réduits, la pédagogie de l'erreur, des cours interactifs…”
Cet ADN se ressent dès le recrutement : “les profils qui nous intéressent sont les plus motivés ! Notre mode de fonctionnement est particulier, on encadre beaucoup nos étudiants. Chaque professeur est tuteur de 5 élèves, qu’il gère dans le suivi de l’apprentissage et le suivi général. Il y a parfois des situations personnelles compliquées, et on aide à gérer cela avec eux. Le but est d’être le plus proche possible, on les encadre beaucoup sur la scolarité.”
Les méthodes employées vont au-delà d’un enseignement “classique” : “on essaie beaucoup de développer la culture générale des étudiants et de leur ouvrir l’esprit. L’enseignement secondaire est très formaté.” L’école fait venir des intervenants extérieurs, amène ses élèves à des conférences sur des thèmes variés, organise des ateliers de lecture, d’expression orale… “Il faut qu’il y ait un véritable esprit de curiosité, il faut aiguiser leur curiosité. Et on se rend compte que l’appétit de culture est toujours bien présent.”
Les locaux n’échappent pas à cette volonté de bien-être pour les étudiants : “ils sont très particuliers pour une école, il faut se sentir bien quelque part pour avoir envie de travailler.”
“Nous devons leur montrer que l’exigence est importante. Si on est exigeant, c’est qu’on tient compte d’eux. Ils doivent être conscients qu'ils sont capables. Nous ne sommes pas élitistes dans le recrutement, mais dans ce qu’on veut leur proposer. Je suis dans la pédagogie de l’erreur, il faut se tromper, se prendre des murs et on en ressort grandi. Il faut prendre des risques.”
Au départ, l’école ne proposait que des formations en Bac +2. Elle a ensuite ouvert des cursus en bac +3 et bac +5, et maintenant au doctorat, même si cela reste minime.
En parallèle, l’école dispose d’un département de formation continue en entreprise pour former les salariés dans les mêmes domaines de compétences que ceux de l’enseignement supérieur.
Elle est également centre de formation de langue pour l'université de Cambridge, pour des élèves de tous âges.
“Ce sont trois casquettes différentes, mais extrêmement imbriquées les unes dans les autres” explique Jean-Pierre.
Tous les étudiants reçoivent par exemple des cours d’anglais du centre de formation de langue.
Des formations diplômantes et favorisant la professionnalisation
Dès le départ, l’école s’est rapprochée de la FEDE, la Fédération Européenne Des Ecoles, un organisme international qui existe depuis une soixantaine d’années et qui s’occupe de créer des diplômes reconnus par les Etats, qui permettent aux étudiants de travailler les langues, la culture européenne et de poursuivre les études, y compris en apprentissage.
“On a souhaité que chaque formation débouche sur un diplôme ou une certification”.
L’Alliance Européenne - Périgueux Business School propose tout d’abord des formations en bac +2, en BTS.
Il s’agit de deux diplômes généraux, orientés vers le commerce : le BTS MCO (Management Commercial Opérationnel) et le BTS GPME (Gestion de la PME).
Ils sont accessibles depuis l’obtention d’un Bac, général, technique ou professionnel. “On fonctionne à la motivation de l’étudiant. Quand on a envie de faire quelque chose, on se donne les moyens d’y arriver. Nous, on est là après pour combler les éventuelles carences qu’il peut y avoir en fonction de la filière d’origine.”
Le choix de deux BTS dispensant des formations plutôt générales n’est pas anodin : “beaucoup de jeunes ne savent pas ce qu’ils veulent faire en sortant du Bac. S’ils se spécialisent directement, ce sera difficile pour eux s’ils souhaitent changer ensuite. Ce sont des BTS complets dans les contenus, difficiles, mais qui permettent de continuer les études ensuite.”
L’école a ensuite lancé des diplômes en Bac +3, accessibles suite à l’obtention de l’un des deux BTS de base. Cela permet aux étudiants de commencer à se spécialiser dans un domaine. Les formations proposent du marketing, des ressources humaines, du marketing international, du commerce international. Elles restent orientées sur du commerce et de la gestion au sens large.
Voici les formations proposées en bac +3 :
- Bachelor européen Gestionnaire des Ressources Humaines,
- Bachelor européen Gestion et Management des PME,
- Bachelor européen Marketing digital,
- Bachelor européen Commerce International.
Bachelor européen en management et merchandising commercial
Après le bac +3, l’Alliance Européenne - Périgueux Business School forme sur trois mastères différents :
- Mastère Européen Management des Ressources Humaines,
- Mastère Européen Management et Stratégie d’Entreprise,
- Mastère Européen Management Projet Informatique.
“Dans l’esprit, il vaut mieux profiter de son bac +2, continuer sur le bac + 3 et se spécialiser dans le master, pour garder une employabilité maximale, explique Jean-Pierre Ferret, les jeunes évoluent dans un monde ultra-mouvant, globalisé, dans lequel les besoins évoluent vite. Il faut être capable d’avoir des compétences variées”.
L’école souhaite également apporter une plus-value importante aux salariés qui viennent se former : “on insiste beaucoup sur la dynamisation des compétences des salariés pour qu’ils puissent rester employables. Il faut que l’obligation de formation des entreprises soit utile et exploitable.”
L’équipe pédagogique est composée d’une quinzaine d’enseignants.
La partie d’enseignement général, notamment les parties juridiques et économiques, est dispensée par Jean-Pierre.
Les cours professionnels sont faits par des professionnels de la spécialité qu’ils enseignent, détenteurs de diplômes d’enseignement nécessaires. Ils ont tous l’habilitation de l’enseignement supérieur, du ministère.
“Ce sont des gens professionnels, qui savent de quoi ils parlent, explique Jean-Pierre, il est nécessaire d’avoir des gens motivés dans la transmission, qui enseignent un métier qu’ils ont choisi à la base. Et c’est plus intéressant pour les étudiants d’avoir quelqu’un qui a des anecdotes de vécu dans la réalité.”
Des résultats positifs, amenant vers l’employabilité
Depuis toujours, l’école a obtenu de très bons résultats. Au niveau des diplômes, le taux de réussite est de 96 % depuis le début.
Mieux encore, l’école met en œuvre différents moyens pour assurer l’employabilité de ses élèves par la suite, en faisant par exemple venir des jurys composés de professionnels pour faire passer les épreuves en bac +3 et mastère : “la présentation d’une soutenance de mémoire pendant une heure est plus efficace qu’un entretien d’embauche.”
Le travail réalisé porte ses fruits, puisque la quasi-totalité des étudiants sont recrutés dans les six mois qui suivent. Mieux encore, certains anciens étudiants restés sur la région recrutent des apprentis dans leur ancienne école. “Les meilleurs ambassadeurs que l’on a sont les étudiants”.
L’affiliation Qualiopi a permis à l’école de confirmer beaucoup de choses qu’elle faisait, comme calculer le taux de placement des élèves, faire le suivi des étudiants quand ils quittent l’école, les aider à trouver des entreprises, notamment dans l’apprentissage.
L’école a un service qui s’occupe de ça exclusivement.
“Depuis ⅔ ans, on a plus d’entreprises qui demandent que de jeunes. Au bout de 26 ans, les entreprises commencent à nous connaitre” explique Jean-Pierre.
À qui s’adresse l’école et comment l’intégrer ?
Elle s’adresse à tout le monde, la seule obligation est d’avoir le bac.
“On a des critères de sélection, détaille Jean-Pierre, dossier sur Parcoursup, entretiens individuels. On fait des demi-journées portes ouvertes avec des réunions d’informations et des entretiens individuels au cours desquels on les réoriente parfois.”
Pour toute question, vous pouvez prendre directement contact avec l’école, via son site internet.
L’Alliance Européenne - Périgueux Business School forme des jeunes et veut les pousser à réaliser leur potentiel, grâce à un accompagnement proche, personnalisé et des formations adaptées.
Jean-Pierre résume sa vision en un message fort : “les jeunes doivent croire en leurs rêves, ne jamais laisser personne leur dire qu’ils ne sont pas capables de faire quelque chose. Dans l’école et dans les entretiens, on leur dira. Chacun a des compétences qui lui sont propres, et doit trouver sa voie. On ne cherche pas à les formater, mais à épanouir leur personnalité. Ils ne doivent pas se freiner dans leurs envies.”
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